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Séminaire de Dinah Ribard

2015-2023 : Histoire et récits du travail

2022-2023 : Histoires et récits du travail. L'écriture comme lieu de travail

Ce séminaire porte sur la connaissance du travail. On s'y intéresse aux témoignages et aux rapports, aux règlements et à la poésie, aux manifestes politiques et aux manuels techniques, aux sermons, aux devis, aux projets, aux pétitions, aux publicités, aux professions de foi, aux décisions, aux instructions et aux récits de toute sorte et de toute taille : à l'écriture comme manière de faire son travail, à l'écriture dans le travail et à l'écriture comme action. On s'y interroge sur ce que des mots écrits peuvent nous apprendre de ce qui a été fait avec eux dans le passé (question envisagée parallèlement avec Marion Carel dans le séminaire Linguistique et histoire. Agir avec les mots qui se tient au second semestre) ; sur ce que c'est que mettre en écriture, à l'époque moderne et au début de l'époque contemporaine, une expérience, une situation, un métier, une politique, une pensée, un art, un événement, une image, un silence ; et sur ce que c'est que recopier, inscrire, recueillir, publier ou afficher, autrement dit sur ce qui arrive aux écrits une fois qu'ils existent.

En 2022-2023, on s'intéressera particulièrement à l'écrit comme lieu de conflits, comme lieu traversé par des rapports de pouvoir, comme lieu d'organisation et de subordination, de routine et d'invention - autrement dit, comme lieu de travail.

 

 

2021-2022 : Histoires et récits du travail. La question de l'écriture

Bâtiment EHESS-Condorcet
Salle 50
EHESS, 2 cours des humanités 93300 Aubervilliers
1er semestre / hebdomadaire, mardi 10:30-12:30
du 9 novembre 2021 au 22 février 2022
Nombre de séances : 16

Ce séminaire porte sur la connaissance du travail. On s'y intéresse aux témoignages et aux rapports, aux règlements et à la poésie, aux manifestes politiques et aux manuels techniques, aux sermons, aux devis, aux projets, aux professions de foi, aux décisions, aux instructions et aux récits : à l'écriture comme manière de faire son travail, à l'écriture dans le travail et à l'écriture comme action. On s'y interroge sur ce que des mots écrits peuvent nous apprendre de ce qui a été fait avec eux (question envisagée parallèlement avec Marion Carel dans le séminaire Linguistique et histoire. Agir avec les mots qui se tient au second semestre) ; sur ce que c'est que mettre en écriture, à l'époque moderne et au début de l'époque contemporaine, une expérience, une situation, un métier, une politique, une pensée, un art, un événement, un silence ; et sur ce que c'est que recopier, inscrire, publier ou afficher, autrement dit sur ce qui arrive aux écrits une fois qu'ils existent.

Feront notamment partie des objets examinés dans cette perspective en 2021-2022 des écritures accompagnant des oeuvres d'art, des inventions (la lithographie, entre autres) et des objets manufacturés, des pétitions et des articles de journaux, des chansons politiques et des recueils de lois, des témoignages et des travaux d'histoire, la question de la routine et celle de l'érudition. Les dernières séances se feront à deux voix, avec Christian Jouhaud.

2020-2021 : Histoire et récits du travail : La question de l'écriture

105 bd Raspail
Salle 5
105 bd Raspail 75006 Paris
1er semestre / hebdomadaire, mardi 11:00-13:00
du 3 novembre 2020 au 23 février 2021

Ce séminaire porte sur la connaissance du travail. On s'y intéresse aux témoignages et aux rapports, aux règlements et à la poésie, aux manifestes politiques et aux manuels techniques, aux devis, aux projets, aux professions de foi et aux instructions : à l'écriture comme manière de faire son travail, à l'écriture dans le travail et à l'écriture comme action. On s'y interroge sur ce que des mots écrits peuvent nous apprendre de ce qui a été fait avec eux (question envisagée parallèlement avec Marion Carel dans le séminaire Linguistique et histoire. Agir avec les mots qui se tient au second semestre) ; sur ce que c'est que mettre en écriture, à l'époque moderne et au début de l'époque contemporaine, une expérience, une situation, un métier, une pensée, un art, un événement, un silence ; et sur ce que c'est que recopier, inscrire, publier ou afficher, autrement dit sur ce qui arrive aux écrits une fois qu'ils existent.

Feront notamment partie des objets examinés dans cette perspective en 2020-2021 des écritures accompagnant des oeuvres d'art et des objets manufacturés, des pétitions et des professions de foi, des chansons politiques et des recueils de lois, des témoignages et des travaux d'histoire, la question de la routine et celle de l'érudition. Les quatre dernières séances seront plus spécifiquement consacrées aux rapports entre écriture et action politique ; elles se feront à deux voix, avec Christian Jouhaud.

2019-2020 : Histoire et récits du travail : Questions d'écriture


2018-2019 : Histoire et récits du travail : Questions d'écriture


2017-2018 : Histoire et récits du travail : Questions d'écriture

 

Le séminaire s’est organisé, cette année, autour de deux manières d’approcher les sources concernant le travail. A partir de la discussion de plusieurs articles d’anthropologie du travail, une distinction entre regarder les sources comme des informateurs et les regarder comme des témoins a été proposée. Les regarder comme des témoins, c’est se demander ce qu’elles ont fait subsister à travers le temps de l’expérience passée à laquelle elles appartenaient : lorsqu’on prend en compte la présence d’écrits, de livres, dans le travail – livres techniques, écrits juridiques ou règlementaires, écrits poétiques –, on est amené à s’interroger sur ce qui a pu être fait à travers le temps avec ces écrits et ces livres. Plusieurs séances ont été à partir de ce point de départ consacrées à discuter l’approche pragmatiste des sources, qui les considère en tant qu’elles ont été des actions : or elle ont bien été des actions, mais des actions écrites, susceptible, d’être retravaillées, manipulées.

Qu’est-ce que c’est qu’une décision écrite ? Que comprend-on de l’événement qu’a été une décision, en la regardant en tant qu’elle a été écrite ? Que devient une décisions écrite ? qu’est-ce qui peut lui arriver ? dans quelle mesure ce qui lui peut lui arriver (être reproduite, bien connue, ou au contraire être oubliée au coin d’un document inutilisé) est-il pris en compte dans sa rédaction ? Par exemple, il peut arriver à une décision, éventuellement malgré ceux qui l’ont prise, de devenir une politique : écrite, elle peut être recopiée à côté d’autres décisions ; elle peut connaître la publicité de l’impression et de la réimpression, être remarquée et saisie par d’autres acteurs qui en font un élément de leurs propres politiques. Mais il se peut aussi que d’emblée, cette possibilité de reprise ait été pensée, incorporée à la décision elle-même. C’est ainsi qu’une lettre de cachet concernant l’organisation de la charité, émise en 1676 et envoyée de manière circulaire aux évêques de France, ouvrait d’emblée des voies qui ont en effet été empruntées. Cet ordre a été lu et commenté en chaire, il a aussi été imprimé à plusieurs reprises, et a été intégré à la réflexion de différents acteurs, certains proches du pouvoir et d’autres très marginaux (on est revenu à cette occasion sur les cas de Nicolas de Blégny et de Gabriel de Calloet Kerbrat), sur la prise en charge de la pauvreté dans le royaume. Une série de séances a été consacrée à cette à décision et ses fortunes, tandis qu’une autre a pris pour terrain la réglementation minière d’Ancien Régime.

On s’est aussi arrêté sur la question de l’intention. Une décision écrite, c’est l’écriture d’une intention : l’intention n’est donc pas extérieure à l’événement de la décision, elle n’en est pas la cause. Elle en est un élément, qui contribue à la constituer comme travail, comme effort orienté vers une réalisation, effort chargé de pensée, effort d’interprétation. Le travail sur les lettres de cachet, à partir des archives de la Maison du roi, a permis de réfléchir à cette question, à partir notamment d’une lettre  du secrétaire d’Etat Pontchartrain à propos d’une grève d’ouvriers rubaniers : le ministre a écrit les intentions de cette grève, qu’il a ainsi fait enregistrer comme acte politique digne d’une attention politique.

 

Publications

« Ce que fait la littérature. Poésie et histoire des mondes ouvriers », Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique, 138 | 2018, p. 159-173.

« La première personne du singulier » in Jean-Christophe Abramovici et Christian Jouhaud (dir.), Michel de Certeau et la littérature, Les Dossiers du Grihl, 2018-02, https://journals.openedition.org/dossiersgrihl/6894

(en collaboration avec Philippe Büttgen) « La Grèce silencieuse de Raymond Queneau » dans Lucile Arnoux-Farnoux et Polina Kosmadaki (dir.), avec la collaboration de Servanne Jollivet, Le double voyage : Paris-Athènes (1919-1939), Athènes, École française d’Athènes, 2018, p. 327-338.

(en collaboration avec Hélène Fernandez), « Le "Quinte-Curce de Vaugelas" » dans Catherine Gaullier-Bougassas (dir.), Postérités européennes de Quinte-Curce : De l’humanisme aux Lumières (XIVe-XVIIIe siècle), Turnhout, Brepols, 2018, p. 343-360.

7 novembre : introduction

14 novembre : introduction 2

21 novembre : La police des mines et le style des charbonnages I

28 novembre : pas de séminaire

5 décembre : La police des mines et le style des charbonnages II

12 décembre : Usages de la règle. Les lettres de cachet imprimées I : travail et charité

19 décembre : Usages de la règle. Les lettres de cachet imprimées II : travail et charité

9 janvier : Usages de la règle. Les lettres de cachet imprimées III : bilan provisoire

16 janvier : Retour rue Guénégaud.

23 janvier : L’ornement. Au cœur du travail.

30 janvier : Teinturiers et perruquiers

6 février : Poètes verriers

13 février : Bilan

2016-2017 : Histoire et récits du travail : Questions d'écriture

Les recherches, au cours de l’année 2016-17, se sont déployées dans trois directions et trois séminaires.

Dans le séminaire « Histoire et récits du travail. Questions d’écriture », la réflexion s’est organisée autour de la présence de l’écriture à l’expérience de travail. L’étude de deux cas de poètes ouvriers, un cordonnier et un potier, a montré la place que tenait dans le phénomène éditorial et politique de la poésie ouvrière l’affirmation d’un écart grandissant entre le travail et l’écriture. Plusieurs séances ont été consacrées, de là, au rôle important joué par l’écrit, historiquement, dans le monde des potiers. Un autre ensemble de séances a abordé la question des écritures règlementaires. On s’est intéressé aux alliances dans le monde des métiers parisien du plus grand rédacteur de statuts de métier du XVIIe siècle, à la publication de dispositifs concernant l’horlogerie par un horloger et à la préparation d’un édit par des arrangements collectifs passés devant notaire par des graveurs et des peintres. Les règlements ne sont pas des sources sur les pratiques ni sur l’expérience du travail ; on s’est demandé quel sens accorder au fait que leur production, leur connaissance, leur présence font bel et bien partie de cette expérience. Dans un troisième moment, on a pris pour objet la publication de livres comme pratique d’interprétation de la politique, celle des lieux de travail privilégiés menée sous le ministère Colbert d’abord. Se demander ce que c’était que publier en 1671 un livre sur les techniques d’un métier dans le faubourg Saint-Germain nous a ensuite amenés au cas de Nicolas de Blégny, auteur de nombreux ouvrages qui constituent une source cruciale sur le sens de la politique de réorganisation des professions médicales alors menée par la monarchie. Le fait est remarquable de la part d’un homme plusieurs fois inquiété par la justice, finalement emprisonné et exilé. Blégny écrivait comme l’auteur du Tailleur sincère dans une rue récente, où les politiques de la ville, du travail et des sciences se donnaient en quelque sorte à voir.

Dans le séminaire « Linguistique et histoire », animé avec Marion Carel, le lien entre ce qui se dit par écrit et ce qu’on fait avec des écrits est au centre de la réflexion. Pendant une partie de l’année, nous avons travaillé sur trois lettres de cachet. Les particularités – les lettres de cachet portent deux signatures, celle du roi et celle du secrétaire d’Etat qui en était le rédacteur – et les fortunes de ces ordres écrits, qui pouvaient être délibérément envoyés à d’autres qu’au destinataire du commandement, et qui n’étaient pas toujours interprétés comme devant être obéis, exigent de distinguer énonciation linguistique et action avec le langage. Le travail sur des sources historiques nous a ainsi amenées à discuter les notions d’illocutoire et de performatif, qui ont nourri et continuent à nourrir le travail des historiens. Dans une seconde séquence, nous nous sommes intéressées à un recueil de chansons publié pendant la Fronde. Nous avons travaillé sur le sens des mots « chanter », « chanson » et « menace », et nous nous sommes interrogées sur l’acte de publier un recueil de textes présentés comme ayant été chantés dans les rues. Ce recueil dit que le peuple chante ce qu’on lui fait chanter, et affirme en même temps que ce que le peuple chante est ce qu’il pense, et que ce qu’il pense est ce qu’il fait ; menacer, par exemple. La notion d’attribution a été proposée pour comprendre ces phénomènes.

Pour mettre en discussion ces réflexions, nous avons organisé deux journées d’étude sur l’énonciation en novembre 2016, et une journée d’étude concluant l’année du parcours « Linguistique et écrit » le 12 juin 2017.

Le Grihl s’est donné en 2016 un nouveau thème de séminaire : « la littérature ordinaire », précisé par une autre formulation, « l’efficace ordinaire du littéraire ». L’objectif est de saisir ce que fait la littérature aux sociétés avec littérature, de mesurer sa présence et son activité, notamment en regardant des écritures diverses où il ne s’agit pas pour nous de trouver du style, de l’efficacité rhétorique, ou une ressemblance avec le canon littéraire, mais de repérer un savoir de la littérature et de sa prise sur le monde. Des séances ont ainsi été consacrées à la présence des écrivains logés dans le quartier des Halles dans l’œuvre immense d’un mystique du XVIIe siècle et à l’ampleur donnée par Paul de Kock à la publicité pour des restaurants des environs de Paris par l’insertion dans ses romans de passages de guides touristique. Plusieurs ont pris pour objet les écritures policières de la prostitution parisienne, aux XVIIIe et XIXe siècles, et montré le profit historique qu’il y a à les regarder comme de la littérature ordinaire. Les usages du littéraire dans des projets de rénovation urbaine à Paris et à Madrid ont fait l’objet de deux séances. D’autres ont réfléchi sur l’inscription dans l’événement des écritures immédiates d’une révolte du XVIIe siècle, sur la poésie des pasteurs au temps de Louis XIV, sur l’écriture à la fois inspirée et ordinaire de Mme Guyon, sur le sens de remarques sur le style d’un auteur de statuts de métier, ou sur les littérateurs ordinaires qu’étaient deux extraordinaires poètes ouvriers. Piotr Laskowsky (Varsovie) et Frédérik Detue (Poitiers) sont venus présenter leur travail sur A Shtetl d’I.M. Weissenberg et sur les témoignages d’exilés aujourd’hui. Un atelier de lecture a été consacré au recueil de textes de Foucault sur la littérature, une séance de discussion à l’édition de l’Apologie pour Machiavelle par Jean-Pierre Cavaillé et Cécile Soudan, et une journée d’étude aux pratiques du refus par les revues de SHS (Christian Jouhaud et Annick Louis, 9 mars 2017). Un Lundi du CRH a été consacré en février 2017 à notre enquête collective Ecriture et action XVIIe-XIXe siècle (2016).

J’ai organisé avec Judith Lyon-Caen, en octobre 2016, l’école d’automne « Histoire et littérature » destinée aux étudiants de Master, participé à la table-ronde qu’elle a organisée en septembre 2016 autour du dernier livre de Michèle Riot-Sarcey, Le procès de la liberté, et organisé avec Gisèle Sapiro, le 22 juin 2017, une table-ronde autour de celui de Dorothea von Mücke (Columbia), The Practices of the Enlightenment.

 

 

Publications :

Trois chapitres (en japonais) in Yasushi Noro (dir.), GRIHL Dialogue entre Français et Japonais autour de l'usage de la littérature, Tokyo, Yoshida Publishing, 2017. 

« Guerre et chansons », Les Dossiers du Grihl [En ligne], Agir au futur. Attitudes d'attente et actions expectatives, Albert Schirrmeister (dir.), 2017-01 | 2017, URL : http://dossiersgrihl.revues.org/6588

« La voie des écrits », Ecrire les écritures. Hommage à Daniel Fabre, Roger Chartier et Christian Jouhaud (dir.), Paris, L'Atelier du CRH, 16bis, 2017, https://acrh.revues.org/7556.

 

2015-2016 : Histoire et récits du travail : ouvriers, moines, peintres, poètes (XVIIe-XIXe siècle)

2e et 4e mardis du mois de 11 h à 13 h (salle 5, 105 bd Raspail 75006 Paris), du 10 novembre 2015 au 24 mai 2016

Histoire et récits : on n’opposera pas les deux termes, et l’objectif n’est pas de combiner une étude des représentations, de l’expérience ou des discours sur le travail à celle de ses évolutions. Ce séminaire porte sur la connaissance du travail, sur la transmission du sens qu’avaient des actes de travail passés. On s’y intéressera, entre époque moderne et début de l'époque contemporaine, à des situations – celle par exemple de la forge gérée, à la fin du XVIIe siècle, par les moines de la Trappe, celle donc de moines patrons – et à des activités – la peinture, la teinture, l'érudition artisane - ou actions qui ont produit des sources divergentes, éventuellement contradictoires, et plus ou moins durables sur ce sens. La question de l’écriture est centrale dans une telle recherche : ce qui se pense par écrit, dans des libelles, des rapports, des comptes, des suppliques, des recueils de documents, des traités, des sermons, des projets, des histoires, des poèmes ; ce qui se fait et ne se fait pas par écrit, et ce qui arrive aux écrits une fois qu’ils existent. Plusieurs séances seront consacrées, en collaboration avec Judith Lyon-Caen, à la question et aux usages de la « littérature des ouvriers ».


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